1. Bon·ne communicant·e
Une communication claire pour récolter les informations cruciales et pour expliciter son concept et ses choix graphiques, voilà qui facilitera grandement le travail.
2. Curiosité, ouverture d’esprit
S’intéresser rapidement à l’entreprise de son/sa cliente, puis, par extension, aux généralités de son domaine d’activité, amène assez vite du grain à moudre au/à la graphiste, un nouveau matériau qu’il/elle va pouvoir «sculpter» dans ses premières recherches.
L’ouverture d’esprit, elle, peut, par exemple, consister à comparer ces données avec celles qui existent ailleurs ou dans des domaines connexes.
On peut aussi évoquer la curiosité qui est tournée sur le métier lui-même, ses nombreuses innovations et tendances.
3. Passionné·e
Le métier est passionnant par les nombreux défis qu’il lance. Le/la graphistea souvent envie de s’épater lui/elle-même et, par ricochet, d’épater son/sa cliente.
4. Acceptation des critiques ou des propositions (de dernières minutes)
Parfois, en tant que graphiste, on a passé de nombreuses heures sur un projet et on arrive un peu à saturation. On se dit qu’il est terminé qu’il ne faut plus y toucher. Le /la client peut alors par exemple remarquer qu’un élément n’est pas totalement conforme aux règles et aux usages de son métier et argumenter la nécessité d’améliorer la chose. Au lieu de ne faire que de râler (sic), on peut examiner que dans bien des cas, cet apport de dernière minute aura été très bénéfique au projet.
5. Patience
Savoir prendre son temps (quand c’est possible) et savoir laisser reposer. Quand on a le projet sous les yeux pendant des jours et des semaines, il faut savoir s’en détacher un peu et le laisser respirer… avant de mieux y revenir.
6. Flexible et persévérant·e
Si l’on travaille sur un concept, il faut savoir remettre en question la façon dont on l’a représenté. Peux-être qu’en faisant un pas de côté, on pourrait encore arriver à quelque chose de plus personnel et pertinent.